Lorsque les parents attendent un enfant, tous deux n’imaginent pas une seule seconde que bébé pourrait naître avec une maladie ou une quelconque pathologie.
Cependant, l’amniosynthèse ou encore une simple prise de sang peuvent révéler parfois des problèmes chez le nourrisson. C’est le cas, notamment, lorsque les médecins mettent en lumière une trisomie 18, une trisomie 13 ou une trisomie 21, celle que l’on connaît le mieux.
C’est alors que les parents ressentent un choc. En effet, comment réagir, lorsque l’on apprend que son enfant sera différent ? Qu’il aura besoin de soins spécifiques, et que la vie ne sera plus jamais la même ?
Il est important d’accepter la réalité
Lorsque les parents apprennent d’un médecin que leur enfant est trisomique, de nombreuses émotions se mêlent. La déception tout d’abord, puis la peur, la colère, et parfois même le rejet.
Cependant, il est important d’accepter la réalité telle qu’elle est. Ce n’est pas facile, et cela prend du temps avant que l’angoisse et la tristesse ne se dissipent.
C’est pour cela qu’il est important de s’appuyer sur les médecins, les pédiatres, et peut-être même un psychologue, qui pourront vous soutenir et vous donner toutes les réponses à vos questions.
Des sacrifices et de grandes satisfactions
Bien évidemment, lorsque l’on apprend que son enfant est atteint de trisomie 21, il faut se préparer à faire des sacrifices.
En effet, ce sont des enfants qui auront besoin de beaucoup d’attention, d’être stimulés, et d’avoir une éducation et du matériel médical adapté.
Cela représente beaucoup de sacrifices, et notamment en ce qui concerne la vie sociale. En revanche, quel bonheur de voir son enfant faire des progrès.
De plus, toutes les familles dont l’un des membres est trisomique affirment que les liens se resserrent, dès l’arrivée du nouveau-né. En effet, chacun prend la mesure de ce que cela signifie, et tous mettent la main à la pâte.
Il faut se rassurer
Il est important de savoir qu’un grand nombre d’enfants trisomiques sont en capacité de suivre une scolarité tout à fait normale.
Ils seront également en mesure de partager le quotidien avec leurs frères et sœurs et, même s’ils sont des problèmes de communication, ils peuvent très bien apprendre l’autonomie, et même vivre seuls à l’âge adulte.