Il y a ceux qui sont plutôt jeux à gratter, ceux qui préfèrent les machines à sous ou encore qui recherchent le meilleur code parrain Betclic afin de bénéficier de nombreux avantages. Dans tous les cas, les Français sont joueurs : loto, PMU, jeux de hasard ou paris sportifs, ils ne peuvent pas s’empêcher de tenter leur chance.
Les jeux d’argent ont toujours autant la cote
Et c’est encore plus vrai depuis la crise : la part du budget des ménages consacrée aux loisirs et à la culture est d’environ 10 % selon l’Observatoire des jeux. Mais le grand changement vient du numérique : la Française des jeux et le PMU n’ont plus le monopole des gains, le marché est désormais partagé par de nombreux acteurs. Car si la FDJ et le PMU peuvent conserver le monopole des jeux de grattage et de tirage en ligne et « en dur » pour la première et des paris hippiques « en dur » pour le second, ce n’est pas le cas d’autres jeux en ligne et des paris sportifs.
Pour exemple, le manque à gagner pour les points de vente PMU était de plus d’un milliard d’euros en paris hippiques en 2010. Au total, le volume des paris sportifs en ligne augmente de 20 à 30 % par an, avec une somme colossale de 2080 milliards en 2016. Quant aux casinos en ligne, ils ne sont pas à plaindre non plus : ce secteur pesait pas moins de 8 milliards d’euros en 2015, avec une prédilection pour les jeux de poker en ligne (plus de 65 % des mises effectuées en ligne ou dans les casinos physiques).
En France comme dans d’autres pays, les géants des jeux et paris sportifs préparent l’avenir. La FDJ a choisi de consacrer 500 millions d’euros à la transformation digitale de l’entreprise d’ici 2020, avec pour objectif d’atteindre 20 % des ventes en numérique au même horizon.